Profil du membre GL
Actuellement
2 484
questions dans le
forum isolation
Membre inscrit GL

a posté 30 202 messages sur les forums BricoVidéo :
Bonjour. Vu le prix d'achat modique, le SAV de la grande surface va vous demander un prix prohibitif, si tant est qu'il prenne en charge cet appareil.
Vous pouvez le démonter vous même et voir s'il n'y a pas un fil de coupé quelque part.
Vous pouvez le démonter vous même et voir s'il n'y a pas un fil de coupé quelque part.
27 mai 2010 à 09:06

Bonjour. J'essaierais bien avec un décapeur thermique à gaz et une brosse métallique. Une solution industrielle serait de le passer au grenaillage.
27 mai 2010 à 09:03

Bonjour. Juste une question. Pourquoi voulez vous installer un relais thermique en protection de la pompe ? Un disjoncteur ne suffirait-il pas ?
27 mai 2010 à 08:36

Bonjour. Vous devez avoir une notice de branchement en votre possession. Normalement, il devrait y avoir 4 fils (comme un volet électrique), outre le jaune vert et le bleu, un fil ouverture et un autre fermeture. Vous pouvez apporter les précisions manquantes en retour.
27 mai 2010 à 08:34

Bonjour. On ne connait pas l'âge de votre appartement et les circuits électriques installés. Ce n'est pas un problème de fiche. Vous vérifiez sur le tableau de répartition la présence d'une protection 32 A par fusible ou disjoncteur. S'il y en a une vous recherchez la prise ou la sortie de câble correspondante dans la cuisine et y reliez la cuisinière. Si ce n'est pas le cas, vous êtes obligés (l'électricien) de réaliser une ligne 32 A spécifique pour la cuisinière en 3×6 mm² ; il n'y a pas d'autre solution.
27 mai 2010 à 08:30

Bonjour. Le problème de l'encastrement des spots est traité en question 7623 où vous trouverez un lien vers un document Promotelec.
Faites attention au choix de spots à diodes électroluminescentes, on peut très vite être déçu du rendu et certains présentent un éclairement résiduel interrupteur de commande ouvert.
Faites attention au choix de spots à diodes électroluminescentes, on peut très vite être déçu du rendu et certains présentent un éclairement résiduel interrupteur de commande ouvert.
26 mai 2010 à 10:50

Bonjour. Votre rédaction manque un peu de clarté et de précisions.
Lorsque vous alimentez un ID 40 A (monophasé ou tétraphasé ?), "la phase saute en sortie" ; ne serait-ce pas plutôt un déclenchement de l'ID ? (la phase ne saute pas).
"J'ai donc voulu tester la phase à la sortie de cet ID et cela saute" ; comment et avec quel appareil faites vous le test ? Vous parlez d'un testeur branché en sortie de l'ID et celui-ci saute.
"J'ai également testé la phase générale (celle du disjoncteur Edf) et elle ne saute pas" ; on ne voit pas bien comment vous faites.
Comme bien précise par Bob35, en sortie de dispositifs différentiels ne peuvent être branchés que des circuits appairés phase neutre ; si ce n'est pas le cas, l'ID constate une anomalie dès l'instant où un récepteur consomme du courant ; pour que vous soyez convaincu, il faut autant d'intensité (ampères) dans les fils de phase et neutre branchés en sortie de chaque ID (facile à mesurer avec une petite pince ampèremétrique).
Il faudrait tout d'abord repérer phase et neutre de chaque circuit (il y a des méthodes pour cela, voir entre autre en question 7932). Ensuite placer un ou des ID pour tous les récepteurs triphasés (chauffe-eau par ex). Ensuite, placer des ID monophasés avec comme souci principal l'équilibrage des phases. Cette opération n'est pas simple, car à part le besoin d'alimenter des machines fonctionnant en triphasé, en 9 kW le monophasé est de mise en uvre plus simple.
Faire cette modification du tableau nécessite de bonnes connaissances (faites mieux la différence courant tension) et de l'outillage. Le testeur n'est pas d'un grand secours bien au contraire, un bon multimètre si possible analogique et une lampe témoin sont un minimum.
Vous allez y passer du temps, à commencer par le repérage de tous les circuits et l'exécution préalable du schéma de câblage ; un travail d'électricien de métier.
Lorsque vous alimentez un ID 40 A (monophasé ou tétraphasé ?), "la phase saute en sortie" ; ne serait-ce pas plutôt un déclenchement de l'ID ? (la phase ne saute pas).
"J'ai donc voulu tester la phase à la sortie de cet ID et cela saute" ; comment et avec quel appareil faites vous le test ? Vous parlez d'un testeur branché en sortie de l'ID et celui-ci saute.
"J'ai également testé la phase générale (celle du disjoncteur Edf) et elle ne saute pas" ; on ne voit pas bien comment vous faites.
Comme bien précise par Bob35, en sortie de dispositifs différentiels ne peuvent être branchés que des circuits appairés phase neutre ; si ce n'est pas le cas, l'ID constate une anomalie dès l'instant où un récepteur consomme du courant ; pour que vous soyez convaincu, il faut autant d'intensité (ampères) dans les fils de phase et neutre branchés en sortie de chaque ID (facile à mesurer avec une petite pince ampèremétrique).
Il faudrait tout d'abord repérer phase et neutre de chaque circuit (il y a des méthodes pour cela, voir entre autre en question 7932). Ensuite placer un ou des ID pour tous les récepteurs triphasés (chauffe-eau par ex). Ensuite, placer des ID monophasés avec comme souci principal l'équilibrage des phases. Cette opération n'est pas simple, car à part le besoin d'alimenter des machines fonctionnant en triphasé, en 9 kW le monophasé est de mise en uvre plus simple.
Faire cette modification du tableau nécessite de bonnes connaissances (faites mieux la différence courant tension) et de l'outillage. Le testeur n'est pas d'un grand secours bien au contraire, un bon multimètre si possible analogique et une lampe témoin sont un minimum.
Vous allez y passer du temps, à commencer par le repérage de tous les circuits et l'exécution préalable du schéma de câblage ; un travail d'électricien de métier.
26 mai 2010 à 08:51

Bonjour. Votre question concerne la liaison équipotentielle dont voici les points principaux accessibles sur le site Promotelec :
" Elle a pour but déviter quune différence de potentiel napparaisse entre les divers éléments conducteurs dans le bâtiment. Elle doit relier à la borne principale de terre tous les éléments conducteurs du bâtiment :
les canalisations métalliques dalimentation à lintérieur du bâtiment en eau, gaz, etc. ;
les canalisations métalliques de chauffage central ;
les éléments métalliques accessibles de la construction. "
Pour ce qui concerne la foudre il n'y a rien de particulier. La pose d'un parafoudre en tête de tableau de répartition s'impose si vous êtes dans une région où les orages sont fréquents et si la distribution est en aérien.
" Elle a pour but déviter quune différence de potentiel napparaisse entre les divers éléments conducteurs dans le bâtiment. Elle doit relier à la borne principale de terre tous les éléments conducteurs du bâtiment :
les canalisations métalliques dalimentation à lintérieur du bâtiment en eau, gaz, etc. ;
les canalisations métalliques de chauffage central ;
les éléments métalliques accessibles de la construction. "
Pour ce qui concerne la foudre il n'y a rien de particulier. La pose d'un parafoudre en tête de tableau de répartition s'impose si vous êtes dans une région où les orages sont fréquents et si la distribution est en aérien.
25 mai 2010 à 08:58

Bonjour. Vous ne dites pas si vous êtes dans une région à indice kéraunique élevé (orages et éclairs fréquents), ni si l'alimentation électrique de votre habitation est aérienne.
Si ces conditions sont réunies, il est d'usage d'installer un parafoudre en tête de tableau de répartition (il y a des règles de câblage très précises, et la prise de terre doit être de qualité, donc très peu résistante).
Les voisins sont-ils affectés comme vous ? Vérifiez si le disjoncteur de branchement est bien de type S, peu propice aux déclenchements intempestifs suite aux phénomènes atmosphériques notamment.
Pour la protection du congélateur, il est d'usage d'utiliser une ligne spécifique protégée par disjoncteur différentiel 30 mA super immunisé (type SI chez Schneider Electric ou HI chez Legrand).
Si ces conditions sont réunies, il est d'usage d'installer un parafoudre en tête de tableau de répartition (il y a des règles de câblage très précises, et la prise de terre doit être de qualité, donc très peu résistante).
Les voisins sont-ils affectés comme vous ? Vérifiez si le disjoncteur de branchement est bien de type S, peu propice aux déclenchements intempestifs suite aux phénomènes atmosphériques notamment.
Pour la protection du congélateur, il est d'usage d'utiliser une ligne spécifique protégée par disjoncteur différentiel 30 mA super immunisé (type SI chez Schneider Electric ou HI chez Legrand).
24 mai 2010 à 23:35

Bonjour. C'est simple, il faut changer le support porcelaine. On en trouve en grande surfaces de bricolage (GSB) ou chez Radiospares.
24 mai 2010 à 21:42

Bonjour. Une porte motorisée comprend 3 sous systèmes : la partie mécanique, la motorisation et sa commande. Sachant qu'il y a un problème sur l'une ou l'autre de ces deux dernières parties, il faut faire un diagnostic sur place.
Seul un professionnel de la marque ou un revendeur documenté, expérimenté et outillé (électricien de préférence) pourra vous dépanner.
Seul un professionnel de la marque ou un revendeur documenté, expérimenté et outillé (électricien de préférence) pourra vous dépanner.
24 mai 2010 à 09:48

Bonjour. Dans le neuf ou en rénovation il faut effectivement un circuit spécialisé pour les volets de section 1,5 mm² protégé par fusible 10 A ou disjoncteur 16 A. Pour cette installation non prévue à l'origine vous devez vous adapter.
Vu l'intensité faible demandée par un moteur de volet roulant, vous pouvez connecter chaque volet roulant sur la prise de courant la plus proche.
Mais si vous affectez la seule prise utilisée pour les volets en la dissociant des autres au niveau du tableau de répartition ce sera beaucoup mieux. Il faudra peut-être remplacer ou ajouter quelques fils dans certains conduits.
Vu l'intensité faible demandée par un moteur de volet roulant, vous pouvez connecter chaque volet roulant sur la prise de courant la plus proche.
Mais si vous affectez la seule prise utilisée pour les volets en la dissociant des autres au niveau du tableau de répartition ce sera beaucoup mieux. Il faudra peut-être remplacer ou ajouter quelques fils dans certains conduits.
24 mai 2010 à 07:55

Bonjour. Une analyse plus circonstanciée est nécessaire.
Tout d'abord la protection ne doit pas être assurée par un "plomb", mais par un fusible cartouche qui semble être de calibre 10 A, ce qui autorise une puissance d'environ 2 300 W, largement suffisante pour un aspirateur seul.
Mais un ensemble aspirateur + lampe halogène (300 W ?) + spots (400 W) est limite pour cette protection.
Si le fusible "saute" alors que vous branchez les spots seuls c'est que ceux-ci présentent un défaut.
Si la ligne est de section 2,5 mm² en fils HO7VU, vous pouvez augmenter le calibre de la protection par cartouche fusible à 16 A.
Tout d'abord la protection ne doit pas être assurée par un "plomb", mais par un fusible cartouche qui semble être de calibre 10 A, ce qui autorise une puissance d'environ 2 300 W, largement suffisante pour un aspirateur seul.
Mais un ensemble aspirateur + lampe halogène (300 W ?) + spots (400 W) est limite pour cette protection.
Si le fusible "saute" alors que vous branchez les spots seuls c'est que ceux-ci présentent un défaut.
Si la ligne est de section 2,5 mm² en fils HO7VU, vous pouvez augmenter le calibre de la protection par cartouche fusible à 16 A.
24 mai 2010 à 07:44

Bonjour. On peut supposer qu'il s'agit du disjoncteur (quel calibre ?) qui protège la ligne sur laquelle se trouve cette prise. Il détecte une surintensité et déclenche. La machine semble être en défaut (mais vous ne dites pas s'il suffit de brancher juste la fiche, ou si le DJ déclenche à la mise en service du lave linge).
Ce peut être un court-circuit au niveau du bornier de raccordement (assez improbable), ou un défaut interne plus sérieux que le SAV devra trouver.
Vous pouvez néanmoins essayer le lave-linge sur une autre prise.
Ce peut être un court-circuit au niveau du bornier de raccordement (assez improbable), ou un défaut interne plus sérieux que le SAV devra trouver.
Vous pouvez néanmoins essayer le lave-linge sur une autre prise.
23 mai 2010 à 22:38

Bonjour à l'internaute qui inaugure la reprise des questions. Il vous faut déterminer la puissance disponible au niveau de cette prise (voir la notice du véhicule). Bien que le réfrigérateur ne consomme pas 400 W en régime permanent, cette puissance peut être approchée au moment du démarrage du groupe si c'est un modèle à compresseur. Dans ce cas et à la louche, on peut estimer une intensité instantanée de l'ordre de 33 A en 12 V (donc une section de 6 mm² conviendrait).
Mais les questions sont :
1. Quelle est la puissance disponible sur la prise en régime permanent (n'oublions pas que cela va surcharger l'alternateur du véhicule) et qu'un fusible protège certainement cette prise ?
2. Le réfrigérateur peut-il être alimenté et donc fonctionner avec un petit convertisseur délivrant une tension rudimentaire (certainement non sinusoïdale) ?
3. Un réfrigérateur à absorption ne serait-il pas mieux adapté à votre usage (voir alors les fournisseurs de matériels de caravaning) ?
A savoir : le véhicule étant à l'arrêt, et en supposant que le montage fonctionne, c'est la batterie qui va délivrer la puissance absorbée par le frigo et le convertisseur. Dans ce cas, cette dernière va se décharger rapidement.
Conclusion : voir question 3.
Mais les questions sont :
1. Quelle est la puissance disponible sur la prise en régime permanent (n'oublions pas que cela va surcharger l'alternateur du véhicule) et qu'un fusible protège certainement cette prise ?
2. Le réfrigérateur peut-il être alimenté et donc fonctionner avec un petit convertisseur délivrant une tension rudimentaire (certainement non sinusoïdale) ?
3. Un réfrigérateur à absorption ne serait-il pas mieux adapté à votre usage (voir alors les fournisseurs de matériels de caravaning) ?
A savoir : le véhicule étant à l'arrêt, et en supposant que le montage fonctionne, c'est la batterie qui va délivrer la puissance absorbée par le frigo et le convertisseur. Dans ce cas, cette dernière va se décharger rapidement.
Conclusion : voir question 3.
23 mai 2010 à 09:00

Bonjour. Pour n'importe quelle idée étrange on peut en général trouver une solution technique et celle proposée par SD est la meilleure ; mais on peut également se poser la question quant à l'utilité d'une telle fonction contraignante dans l'habitat : il serait obligatoire d'utiliser la salle de bain (interdite aux enfants) porte fermée et verrouillée pour avoir de la lumière à tout moment.
19 mai 2010 à 08:08

Bonjour. Un maçon pourra peut-être vous répondre ; il faudrait connaître l'utilité de cet outil.
Dans la négative, vous pourriez vous adresser au "Musée de l'outil et de la pensée ouvrière" à Troyes, où des milliers d'outils relatifs à l'artisanat sont exposés. Voir le formulaire de contact en suivant ce lien maison-de-l-outil.com.
Dans la négative, vous pourriez vous adresser au "Musée de l'outil et de la pensée ouvrière" à Troyes, où des milliers d'outils relatifs à l'artisanat sont exposés. Voir le formulaire de contact en suivant ce lien maison-de-l-outil.com.
11 mai 2010 à 13:25

Bonjour JL. Quelques indications en espérant que vous puissiez aller à la pêche du neutre.
Dans le boîtier interrupteur se trouve une phase directe (peut-être rouge) et la phase coupée (peut-être orange ou une autre couleur) allant vers la lampe initiale.
D'après votre descriptif, dans ce boîtier ne passent ni le neutre bleu, ni un fil de terre jaune-vert. Il faut donc retrouver et identifier le neutre qui va à la lampe initiale et qui se trouve peut-être dans une boîte de dérivation de la pièce.
Il va falloir aiguiller dans les conduits (s'ils ne sont pas trop petits) à partir de l'interrupteur jusqu'à ce que vous puissiez le ramener indirectement vers les appliques après l'avoir trouvé.
Pas question de vous repiquer sur un neutre de prise. De plus, en l'absence de terre passée, il faudra installer des appliques double isolation, donc sans terre à raccorder. Du temps à passer, sans garantie de résultat.
Dans le boîtier interrupteur se trouve une phase directe (peut-être rouge) et la phase coupée (peut-être orange ou une autre couleur) allant vers la lampe initiale.
D'après votre descriptif, dans ce boîtier ne passent ni le neutre bleu, ni un fil de terre jaune-vert. Il faut donc retrouver et identifier le neutre qui va à la lampe initiale et qui se trouve peut-être dans une boîte de dérivation de la pièce.
Il va falloir aiguiller dans les conduits (s'ils ne sont pas trop petits) à partir de l'interrupteur jusqu'à ce que vous puissiez le ramener indirectement vers les appliques après l'avoir trouvé.
Pas question de vous repiquer sur un neutre de prise. De plus, en l'absence de terre passée, il faudra installer des appliques double isolation, donc sans terre à raccorder. Du temps à passer, sans garantie de résultat.
10 mai 2010 à 08:43

Bonjour mf06. On ne peut pas grand chose contre les chutes du tension du réseau. Celles-ci sont définies par des normes très détaillées (dossiers "qualité de la fourniture d'énergie").
Les problèmes présents et à venir concernent les pompes à chaleur dont les démarrages peuvent perturber le réseau si celui ci est vétuste et sous dimensionné.
Pour le domestique, si l'on suit bien les prescriptions de la C15-100 (sections et longueurs) il n'y a pas besoin de connaître la densité de courant ; les chutes de tension dans l'habitation classique sont négligeables par rapport à celles du réseau en amont. Quant à la valeur de densité que vous utilisez, elle est largement obsolète et l'on ne raisonne plus ainsi depuis les années 60.
Les problèmes présents et à venir concernent les pompes à chaleur dont les démarrages peuvent perturber le réseau si celui ci est vétuste et sous dimensionné.
Pour le domestique, si l'on suit bien les prescriptions de la C15-100 (sections et longueurs) il n'y a pas besoin de connaître la densité de courant ; les chutes de tension dans l'habitation classique sont négligeables par rapport à celles du réseau en amont. Quant à la valeur de densité que vous utilisez, elle est largement obsolète et l'on ne raisonne plus ainsi depuis les années 60.
08 mai 2010 à 11:13

Bonjour mf06. En attendant de reprendre le fil des questions du forum (déjà 2 semaines de RTT), tous les contributeurs un peu jardiniers ont dû en profiter pour faire les plantations dans le potager ou sur le balcon.
Pour la chute de tension, la formule à tout faire disponible un peu partout est suffisante, ce à partir du modèle standard en ligne de cuivre ou aluminium, en monophasé ou triphasé équilibré, et pour une charge donnée connue. A noter que celle donnée par CO néglige bien la partie inductive de la chute de tension.
Ce qui est gênant dans ces formules c'est que l'on puisse les appliquer sans recul, sans savoir d'où viennent les paramètres numériques. Mais pour les applications usuelles, cela convient amplement, d'autant plus qu'il existe des tableaux tout faits, des abaques, ou des calculateurs Excel faciles à utiliser.
A bientôt.
Pour la chute de tension, la formule à tout faire disponible un peu partout est suffisante, ce à partir du modèle standard en ligne de cuivre ou aluminium, en monophasé ou triphasé équilibré, et pour une charge donnée connue. A noter que celle donnée par CO néglige bien la partie inductive de la chute de tension.
Ce qui est gênant dans ces formules c'est que l'on puisse les appliquer sans recul, sans savoir d'où viennent les paramètres numériques. Mais pour les applications usuelles, cela convient amplement, d'autant plus qu'il existe des tableaux tout faits, des abaques, ou des calculateurs Excel faciles à utiliser.
A bientôt.
06 mai 2010 à 18:30

Bonjour. En réalité les deux fonctionnements sont simultanés. Vous imaginez la machine couplée sur le réseau et entraînée par une turbine hydraulique branchée sur une chute d'eau.
Comme toute turbine, elle est munie d'un robinet d'admission. L'alternateur couplé fournit de l'énergie active au réseau (celle qui fait chauffer les radiateurs et tourner les moteurs) d'autant plus que le robinet d'admission est ouvert. L'énergie mécanique de la chute est transformée en énergie électrique. La fourniture ou non d'énergie réactive au réseau (celle qui permet de magnétiser les transformateurs et autres machines) dépend de l'excitation de l'électroaimant tournant de la machine synchrone.
Pour avoir ce fonctionnement, il faut que l'aimantation interne de la machine soit plus importante que nécessaire ; c'est pour cela que l'on dit que la machine doit être surexcitée.
Ce fonctionnement de la machine synchrone est étudié en théorie et pratique (sur banc d'essais) au niveau bac + 2.
Comme toute turbine, elle est munie d'un robinet d'admission. L'alternateur couplé fournit de l'énergie active au réseau (celle qui fait chauffer les radiateurs et tourner les moteurs) d'autant plus que le robinet d'admission est ouvert. L'énergie mécanique de la chute est transformée en énergie électrique. La fourniture ou non d'énergie réactive au réseau (celle qui permet de magnétiser les transformateurs et autres machines) dépend de l'excitation de l'électroaimant tournant de la machine synchrone.
Pour avoir ce fonctionnement, il faut que l'aimantation interne de la machine soit plus importante que nécessaire ; c'est pour cela que l'on dit que la machine doit être surexcitée.
Ce fonctionnement de la machine synchrone est étudié en théorie et pratique (sur banc d'essais) au niveau bac + 2.
30 avril 2010 à 09:51

Bonjour. Apparemment le problème n'est pas connu des intervenants habituels.
Avec la notice de raccordement sous les yeux nous aurions certainement pu vous trouver une solution.
Avec la notice de raccordement sous les yeux nous aurions certainement pu vous trouver une solution.
20 avril 2010 à 21:45

Bonjour. C'est un fusible thermique qui est en série avec le moteur et protège celui ci s'il chauffe trop. Il est généralement inséré dans le bobinage. On en trouve également dans certains petits transformateurs et dans les cafetières. Si vous le supprimez, il peut y avoir risque de surchauffe, et après on ne peut prévoir les dégâts éventuels.
20 avril 2010 à 15:02

Bonjour. Suite à votre réponse en 4, il n'y a aucune raison que le luminaire ne fonctionne pas correctement sur le télérupteur comme précise en réponse 2. Ces convertisseurs sont robustes, protégés contre les marches à vide et en court-circuit. A distance on ne peut rien dire de plus. Essayez de mieux cerner ce problème sans cause réelle apparente.
20 avril 2010 à 14:56

Bonjour. Vous ne dites pas grand chose concernant ce problème. Êtes vous loueur ou locataire ? Comment se fait-il qu'il existe des circuits sans affectation ? Dans le doute, faites intervenir un électricien local.
20 avril 2010 à 10:54

Bonjour. En question 6682 des réponses sont apportées. Un lien vers un document général y est disponible.
20 avril 2010 à 10:47

Bonjour. La machine n'est plus sous garantie constructeur. S'agissant d'un accident domestique, vous pouvez faire intervenir votre assurance multirisques (RAQVAM à la MAIF) avec description des dégâts occasionnés dans la pièce. Pour la partie relative aux défauts supposés de la machine, vous pouvez peut-être vous adresser à une association de consommateurs. Attendons d'autres avis.
20 avril 2010 à 09:21

Bonjour. Voir question 8072 ci dessous qui traite ce problème.
20 avril 2010 à 09:11

Bonjour. Protéger la ligne spécialisée de 1,5 mm² avec un DJ non différentiel (sans DDR) de 10 A est un bon choix. Par contre, mettre deux DDR 30 mA en cascade est à éviter du fait de l'absence de sélectivité. S'il y a un DDR 30 mA dans le tableau d'arrivée vous le laissez, et vous n'en mettez pas au départ de la ligne.
20 avril 2010 à 09:07

Bonjour. Pour le vocabulaire élémentaire voir la question 7870. On peut juste reprendre votre premier exemple : une pile alimente une lampe par l'intermédiaire de conducteurs. Le fluide en circuit fermé sont les électrons, la pompe à électrons est la pile, la charge est la lampe qui dissipe de l'énergie, mais la source d'énergie est la pile elle même et elle vient bien de quelque part. Le mouvement perpétuel n'existe pas. Il vous faut travailler toutes les notions relatives à l'énergie.
20 avril 2010 à 08:27

Bonjour. L'installation électrique est manifestement vétuste et dangereuse.
Apparemment il y a mise en danger de la "Sécurité physique et santé des locataires" non conforme aux caractéristiques d'un logement décent que le bailleur se doit de respecter. Voir ce document de l'ANIL : www.anil.org/fr-proprietaire/bailleur/location
Pour les démarches à effectuer, vous pourrez les obtenir auprès de l'ADIL de votre département. Mais si MD (que je salue) est dans le coin, il apportera les compléments ou corrections nécessaires.
Apparemment il y a mise en danger de la "Sécurité physique et santé des locataires" non conforme aux caractéristiques d'un logement décent que le bailleur se doit de respecter. Voir ce document de l'ANIL : www.anil.org/fr-proprietaire/bailleur/location
Pour les démarches à effectuer, vous pourrez les obtenir auprès de l'ADIL de votre département. Mais si MD (que je salue) est dans le coin, il apportera les compléments ou corrections nécessaires.
19 avril 2010 à 09:42

Bonjour. Télérupteur ou interrupteur à l'entrée de la pièce cela reste un (simple) allumage classique, le lustre doit fonctionner de façon identique dans les deux cas. S'agit-il d'un convertisseur 230/12 V pour lampes à incandescence ?
19 avril 2010 à 09:08

Bonjour. A partir de la relation 1 pi = 1 ft = 0,3048 m, la longueur entre votre tableau et le cabanon est de 27,43 m arrondi à 30 m.
Il faudrait savoir la puissance des éléments que vous voulez utiliser et sous quelle tension ; la connaissance de l'intensité du courant serait un plus.
En tant que résident au Québec, on peut supposer que vous allez utiliser 2 phases, soit 240 V.
Merci d'apporter les précisions manquantes.
Il faudrait savoir la puissance des éléments que vous voulez utiliser et sous quelle tension ; la connaissance de l'intensité du courant serait un plus.
En tant que résident au Québec, on peut supposer que vous allez utiliser 2 phases, soit 240 V.
Merci d'apporter les précisions manquantes.
18 avril 2010 à 21:18

Une heure plus tard. Pour contrôler la ligne 32 A dédiée à la cuisson, il vaut mieux vérifier que le fusible sur le tableau de répartition est bon, ou que le disjoncteur correspondant est bien fermé. Ce, en supposant que l'installation comprend bien l'une ou l'autre de ces protections.
18 avril 2010 à 10:33

Bonjour. Vous devez avoir la notice de branchement. Les couleurs et fonctions y sont ainsi définies : neutre N1 = bleu ; neutre N2 = marron ; phase L1 = noir ; phase L2 = gris.
Le branchement en 220/240 V doit se faire ainsi : bleu + marron sur le neutre bleu de la sortie de câble ; noir + gris sur la phase rouge de la sortie de câble. Terre jaune vert.
Donc branchement à revoir (les sertissages métalliques évitent d'avoir à dénuder).
Assurez-vous que la ligne 32 A est bien active, en y branchant une lampe témoin par exemple.
Prenez toutes les précautions d'usage (raccordements hors tension).
Dites-nous d'ici peu si la table fonctionne. Merci.
Le branchement en 220/240 V doit se faire ainsi : bleu + marron sur le neutre bleu de la sortie de câble ; noir + gris sur la phase rouge de la sortie de câble. Terre jaune vert.
Donc branchement à revoir (les sertissages métalliques évitent d'avoir à dénuder).
Assurez-vous que la ligne 32 A est bien active, en y branchant une lampe témoin par exemple.
Prenez toutes les précautions d'usage (raccordements hors tension).
Dites-nous d'ici peu si la table fonctionne. Merci.
18 avril 2010 à 09:00

Bonjour. Vous pouvez vous inspirer des nombreux exemples de tableaux secondaires proposés sur le forum. Vous pouvez mettre un petit compteur modulaire en sortie de ligne pour estimer la consommation moyenne sur une longue période, mais en aucun cas vous ne pouvez facturer directement l'énergie consommée. Le montant de celle-ci doit être intégré dans le forfait de la location. Le tableau du gite comportera au minimum un interrupteur différentiel avec les DJ habituels en cascade.
17 avril 2010 à 09:50

Bonjour. Avant tout il faut vous former sur les montages basiques ; on ne peut improviser un montage simple allumage en l'absence de connaissances. Il faut donc que vous sortiez de l'état de néophyte en vous documentant et en vous faisant aider. Ensuite, pour un éclairage extérieur il vaut mieux une ligne spécialisée, avec le conducteur de terre raccordé sur le luminaire s'il n'est pas à double isolation.
Des mots ou expressions à travailler préalablement : phase, neutre, terre, simple allumage, va et vient, dangers de l'électricité, protection des personnes, différentiel, disjoncteur, couleurs normalisées des conducteurs etc.
Des mots ou expressions à travailler préalablement : phase, neutre, terre, simple allumage, va et vient, dangers de l'électricité, protection des personnes, différentiel, disjoncteur, couleurs normalisées des conducteurs etc.
17 avril 2010 à 09:42

Bonjour. Si la dalle flottante est peu épaisse (5 cm), il y a risque de provoquer des fissures à terme, voire la casser si les saignées sont trop profondes. Le moins risqué est de passer des tubes ICT de 20 et 25 sur le faux plafond. Ce dernier peut être fixé sur des rails métalliques. On ne peut en dire plus à distance, la solution vous appartient en fonction de ce que vous allez trouver en démontant.
17 avril 2010 à 09:30

Bonjour Farin. Ce problème est traité en question 7103 et 6662 où vous trouverez un lien vers une documentation technique.
17 avril 2010 à 09:17

Bonjour. Il semble que vous ayez posé cette question en 2028 du forum divers. Trois réponses y sont proposées.
16 avril 2010 à 22:51

Bonjour. Vous êtes coincé comme l'ont été certains vendéens lors de l'inondation. Sans électricité, et sans manivelle à l'intérieur (mais pourquoi n'y est-elle pas ?), à part détruire les lamelles pour sortir en urgence, il n'y a pas de solution. Posez néanmoins la question à un installateur de votre région.
16 avril 2010 à 22:38

Bonjour Nico. Il n'y a pas foule pour vous répondre car à distance on ne peut se faire une idée de votre installation. Il faut vous faire aider par un ami plus expérimenté, voire un professionnel. Il faut réviser le montage simple allumage pour l'éclairage.
De même, éviter d'utiliser un testeur si l'on est débutant. Une lampe témoin avec douille et fils volants rigides et un multimètre sont les outils basiques.
Mais il faut savoir ce que l'on cherche. Documentez vous sérieusement avant d'intervenir sur votre installation (en ayant repéré tous les fils et leur couleur pour vous éviter de vous retrouver dans la situation de la dernière prise), il existe des livres pour cela.
Il n'est pas dans les usages normaux que le "courant saute". 8 fils dans un boîtier d'appareillage est vraiment beaucoup.
De même, éviter d'utiliser un testeur si l'on est débutant. Une lampe témoin avec douille et fils volants rigides et un multimètre sont les outils basiques.
Mais il faut savoir ce que l'on cherche. Documentez vous sérieusement avant d'intervenir sur votre installation (en ayant repéré tous les fils et leur couleur pour vous éviter de vous retrouver dans la situation de la dernière prise), il existe des livres pour cela.
Il n'est pas dans les usages normaux que le "courant saute". 8 fils dans un boîtier d'appareillage est vraiment beaucoup.
16 avril 2010 à 22:32

Bonjour. Vous pouvez déjà glaner quelques conseils en question n°4134.
Cours d'élec pour débutant.
Les 2 machines fonctionnent avec le même stator triphasé. C'est un ensemble de 3 bobinages décalés dans l'espace et parcourus par des courants alternatifs sinusoïdaux déphasés également.
Un champ magnétique tournant (comme ferait un barreau aimanté tournant) est produit dans la machine. Ce champ peut agir sur un rotor en matériau ferromagnétique (qui peut s'aimanter) dit en cage d'écureuil. Des courants sont induits dans le rotor et leurs effets électromagnétiques (forces et couple) entrainent le rotor dans le sens du champ tournant sans jamais qu'il ne puisse tourner à la même vitesse : c'est le moteur asynchrone ou moteur d'induction.
Le rotor du moteur synchrone est une roue polaire, sorte d'aimant ou d'électroaimant multipolaire. Les pôles du rotor s'accrochent sur le champ tournant, le rotor tourne donc en synchronisme avec le champ tournant créé par le stator.
Mais pourquoi avez-vous posé cette question ?
Cours d'élec pour débutant.
Les 2 machines fonctionnent avec le même stator triphasé. C'est un ensemble de 3 bobinages décalés dans l'espace et parcourus par des courants alternatifs sinusoïdaux déphasés également.
Un champ magnétique tournant (comme ferait un barreau aimanté tournant) est produit dans la machine. Ce champ peut agir sur un rotor en matériau ferromagnétique (qui peut s'aimanter) dit en cage d'écureuil. Des courants sont induits dans le rotor et leurs effets électromagnétiques (forces et couple) entrainent le rotor dans le sens du champ tournant sans jamais qu'il ne puisse tourner à la même vitesse : c'est le moteur asynchrone ou moteur d'induction.
Le rotor du moteur synchrone est une roue polaire, sorte d'aimant ou d'électroaimant multipolaire. Les pôles du rotor s'accrochent sur le champ tournant, le rotor tourne donc en synchronisme avec le champ tournant créé par le stator.
Mais pourquoi avez-vous posé cette question ?
16 avril 2010 à 22:19

Bonjour. Le monteur n'a pas forcément fait le bon choix, ou alors il était frigoriste et non électricien.
Pour découpler totalement la chambre froide du reste de l'installation, il aurait pu monter un DJ différentiel super immunisé courbe D branché directement sur le bornier du tableau de répartition (ou équivalent : DJ + bloc différentiel Vigi ou autre), comme on le fait généralement pour un congélateur. On met le bon matériel défini préalablement, et pas de la récupération d'un autre chantier, méthode quelque peu désinvolte et non professionnelle ; donc non justifiable.
Pour l'intensité, soit il utilise les données de la plaque signalétique du moteur, soit il mesure avec sa pince ampèremétrique l'intensité au démarrage et en régime permanent ; le calibre 10 A semble de toute façon un peu juste vu d'ici.
L'autre solution à privilégier est de protéger la ligne 2,5 mm² avec DJ 20 A courbe D avec DDR, puis de monter un DJ moteur Télémécanique GV2 ME16 ou équivalent dans le coffret de commande près de l'armoire frigorifique.
Dans tous les cas on évite d'utiliser des formules bizarres à tout faire d'un autre temps. On favorise le raisonnement comme expliqué en suivant ce lien vers la question 3560. Cordialement,
Pour découpler totalement la chambre froide du reste de l'installation, il aurait pu monter un DJ différentiel super immunisé courbe D branché directement sur le bornier du tableau de répartition (ou équivalent : DJ + bloc différentiel Vigi ou autre), comme on le fait généralement pour un congélateur. On met le bon matériel défini préalablement, et pas de la récupération d'un autre chantier, méthode quelque peu désinvolte et non professionnelle ; donc non justifiable.
Pour l'intensité, soit il utilise les données de la plaque signalétique du moteur, soit il mesure avec sa pince ampèremétrique l'intensité au démarrage et en régime permanent ; le calibre 10 A semble de toute façon un peu juste vu d'ici.
L'autre solution à privilégier est de protéger la ligne 2,5 mm² avec DJ 20 A courbe D avec DDR, puis de monter un DJ moteur Télémécanique GV2 ME16 ou équivalent dans le coffret de commande près de l'armoire frigorifique.
Dans tous les cas on évite d'utiliser des formules bizarres à tout faire d'un autre temps. On favorise le raisonnement comme expliqué en suivant ce lien vers la question 3560. Cordialement,
16 avril 2010 à 09:25

Bonjour. Il y a une erreur sur le schéma de droite. Le moteur asynchrone monophasé ne comporte que 2 bornes U et V, en plus de la terre. Le courant doit passer dans les trois capteurs du relais thermique (noté F1) mis en série. La liaison verticale entre la sortie 4 du relais et le moteur est à supprimer.
De même, il est inutile de repasser par le contact 5/6 du contacteur triphasé.
De même, il est inutile de repasser par le contact 5/6 du contacteur triphasé.
15 avril 2010 à 14:53

Bonjour. Le plus simple est d'acquérir une petite pince de calibres intensité que l'on rencontre en domestique. Chez Multimetrix il y a la CM605 d'un bon rapport qualité prix : www.multimetrix.fr
Les fonctions usuelles des multimètres sont disponibles (voltmètre, ohmmètre). Vous pourrez ainsi commencer la longue épreuve de la recherche des circuits, vous n'en n'êtes qu'au début (en plus du multimètre une simple lampe témoin sur douille et fils volants rigide est un outil très pratique). Bon courage.
Les fonctions usuelles des multimètres sont disponibles (voltmètre, ohmmètre). Vous pourrez ainsi commencer la longue épreuve de la recherche des circuits, vous n'en n'êtes qu'au début (en plus du multimètre une simple lampe témoin sur douille et fils volants rigide est un outil très pratique). Bon courage.
15 avril 2010 à 14:34

Bonjour. La puissance est normalement indiquée en kVA. Dans ce cas, pour 10 kVA en 400 V triphasé, cela correspond à environ 14 A à 15 A par phase.
Mais la charge ne doit pas avoir facteur de puissance inférieur à une limite précisée dans les caractéristiques. Voir la notice de l'appareil. Pour le vocabulaire, voir en 7880.
Mais la charge ne doit pas avoir facteur de puissance inférieur à une limite précisée dans les caractéristiques. Voir la notice de l'appareil. Pour le vocabulaire, voir en 7880.
15 avril 2010 à 14:21

Bonjour. Bien que vous soyez novice, vous devriez pouvoir faire un schéma unifilaire de principe du montage avec l'arrivée phase neutre, l'inter, le vacuostat (qui est un capteur associé à un contact), le compresseur. Le tout associé à une explication des conditions de fonctionnement. Ensuite on câble fil à fil en respectant le schéma et le montage fonctionne dès la mise sous tension. Les photos ne sont pas d'un grand secours. A suivre.
15 avril 2010 à 09:36

Bonjour. Un variateur classique n'est pas compatible avec les lampes fluocompactes.
15 avril 2010 à 09:24

Bonjour. Bien que vous ayez du matériel en quantité, cela ne fait pas de vous un électricien.
On ne peut pas en deux lignes expliquer toutes les particularités de ce métier permettant de faire une installation dans les normes et sécurisée.
La première chose à faire si vous voulez persévérer est de vous documenter sérieusement sur les installations dans les locaux d'habitation ; voir pour cela les références présentes sur le forum. Pour une telle surface où les circuits sont nombreux, le plus prudent est de faire appel à un professionnel, il en va de la sécurité des biens et des personnes.
On ne peut pas en deux lignes expliquer toutes les particularités de ce métier permettant de faire une installation dans les normes et sécurisée.
La première chose à faire si vous voulez persévérer est de vous documenter sérieusement sur les installations dans les locaux d'habitation ; voir pour cela les références présentes sur le forum. Pour une telle surface où les circuits sont nombreux, le plus prudent est de faire appel à un professionnel, il en va de la sécurité des biens et des personnes.
15 avril 2010 à 09:22
